Le chapitre Tour du Monde est clos. En fait, dans ma tete, je n'aie pas fait un tour du monde. Simplement, j'avais decide que pour me rendre a la reunion mondiale des Freres de la Cote a Sydney en Mars 2010 j'utiliserai mon voilier plutot que de prendre l'avion. Ensuite, pour rentrer de Sydney a Norfolk, le plus simple etait de continuer a faire de l'ouest.
En tout cas, maintenant que j'aie croise mon sillage de depart, changement de situation. Il s'agit maintenant de croisiere dans les Bahamas et la Floride avant de rentrer a petits pas a Norfolk pour ne pas arriver trop tot, vu le froid.
Aujourd'hui, Brise Galets abandonne Papy Jovial aux bons soins de Stephanie et Ezio, et je pars pour Norfolk par ferry et avion pour prendre soin de taches administratives (renouveler mon permis de conduire, recuperer mon courrier, etc. . . )
Donc pendant une semaine, vous n'entendrez pas parler beaucoup de moi.
A bientot
dimanche 30 janvier 2011
lundi 24 janvier 2011
La boucle est bouclee
Hier soir, a 18:03 pour etre precis, j'aie croise mon sillage de depart
en passant les "Nuevita Rocks" que j'avais franchi au depart le 16 Mai
2009 a 17:00 heures.
Au total, j'aie parcouru sur le fond 34,172 milles marins (pour ceux qui
ne sont pas familiers avec les mesures marines 1 mille marin fait 1852
metres). Si j'en crois mon loch, je n'aie parcouru sur l'eau que 30,233
milles, ce qui me fait en moyenne un courant favorable d'environ 0.5
noeuds, ce qui est tout a fait plausible.
Tout cela a ete accomplie en 618 jours et 1 heure, mais avec des arrets
consequents en Nouvelle Zelande, Australie, Afrique du Sud et
Martinique. Je ne pousserai pas le zele jusqu'a decompter avec precision
ces arrets. En gros, cela represente environ 8 mois.
Mon voyage n'est pas encore termine, car je vais passer un peu de temps
en Floride et aux Bahamas, avant de remonter sur mon port d'attache a
Norfolk ou j'arriverai le 1er Mai.
Pour l'instant, nous remontons le grand banc des Bahamas comme une fusee
avec 15 a 20 noeuds de vent portant et une vitesse maxi pour le bateau.
Je sortirai du banc au sud ouest de Providence Island, irais chercher le
NW channel au sud des Berrys, contournerais les Berrys par le sud et
l'ouest avant de faire cap direct sur Port Lucaya ou je ferai mon entree
aux Bahamas.
en passant les "Nuevita Rocks" que j'avais franchi au depart le 16 Mai
2009 a 17:00 heures.
Au total, j'aie parcouru sur le fond 34,172 milles marins (pour ceux qui
ne sont pas familiers avec les mesures marines 1 mille marin fait 1852
metres). Si j'en crois mon loch, je n'aie parcouru sur l'eau que 30,233
milles, ce qui me fait en moyenne un courant favorable d'environ 0.5
noeuds, ce qui est tout a fait plausible.
Tout cela a ete accomplie en 618 jours et 1 heure, mais avec des arrets
consequents en Nouvelle Zelande, Australie, Afrique du Sud et
Martinique. Je ne pousserai pas le zele jusqu'a decompter avec precision
ces arrets. En gros, cela represente environ 8 mois.
Mon voyage n'est pas encore termine, car je vais passer un peu de temps
en Floride et aux Bahamas, avant de remonter sur mon port d'attache a
Norfolk ou j'arriverai le 1er Mai.
Pour l'instant, nous remontons le grand banc des Bahamas comme une fusee
avec 15 a 20 noeuds de vent portant et une vitesse maxi pour le bateau.
Je sortirai du banc au sud ouest de Providence Island, irais chercher le
NW channel au sud des Berrys, contournerais les Berrys par le sud et
l'ouest avant de faire cap direct sur Port Lucaya ou je ferai mon entree
aux Bahamas.
samedi 22 janvier 2011
Arret buffet a Provo
En quittant la Martinique, les previsions meteo indiquaient une periode
de vents faibles et le souci principal etait de se ravitailler en
carburant au plus 500 milles avant l'arrivee. J'avais donc decide de
faire un arret a Providenciales qui se trouve a 500 milles de Port
Lucaya. Nous y sommes donc arrives hier matin a 8 heures, mais avec un
reservoir plein car nous avons eu du vent tout du long. Mais, j'avais en
tete de m'arreter pour un jour, et donc, bien qu'il n'y aie plus
vraiment besoin, nous nous sommes arretes.
Provo depend presque entierement du tourisme, et presque entierement
dans ce tourisme, de plongee sous marine avec une eau tellement claire
qu'avec 20 metres de fond, on en voit presque tous les details.
Evidemment, tout dans l'ile est relativement artificiel, pas de culture
locale, Mais c'est propre, calme, et les gens sont acceuillants.
En outre, pour les internautes que nous sommes, la marina nous a offert
la WiFi gratuite pour une semaine avec une connection excellente.
Nous avons pu egalement, au prix d'une longue marche, nous procurer
trois vis inox avec des specifications bien precises, qui maintiennent
l'enrouleur sur le tambour inferieur. Sans ces vis, l'enrouleur
n'enroule plus. Et nous avons pu trouver ce qui nous fallait, ce qui
veut dire que maintenant que nous pouvons a nouveau utiiser l'enrouleur,
nous n'en aurons sans doute plus besoin.
Cela m'etonnerait quand meme avec le nombre de fronts froid en route
vers nous, certains plutot faibles mais d'autres pouvant generer assez
de vent pour avoir besoin d'enrouler et de prendre des ris.
Pour rentrer, nous allons passer au sud de Mayaguana et de Crooked
Island et entrer dans le banc des Exumas a l'ouest de Long Island par
les Nuevita rocks. Ensuite, nous traverserons vers l'ouest le banc pour
entrer dans "The Tongue of the Ocean" et faire route directe vers les
Berrys.
Arrivee prevue a Port Lucaya le 26 au matin.
de vents faibles et le souci principal etait de se ravitailler en
carburant au plus 500 milles avant l'arrivee. J'avais donc decide de
faire un arret a Providenciales qui se trouve a 500 milles de Port
Lucaya. Nous y sommes donc arrives hier matin a 8 heures, mais avec un
reservoir plein car nous avons eu du vent tout du long. Mais, j'avais en
tete de m'arreter pour un jour, et donc, bien qu'il n'y aie plus
vraiment besoin, nous nous sommes arretes.
Provo depend presque entierement du tourisme, et presque entierement
dans ce tourisme, de plongee sous marine avec une eau tellement claire
qu'avec 20 metres de fond, on en voit presque tous les details.
Evidemment, tout dans l'ile est relativement artificiel, pas de culture
locale, Mais c'est propre, calme, et les gens sont acceuillants.
En outre, pour les internautes que nous sommes, la marina nous a offert
la WiFi gratuite pour une semaine avec une connection excellente.
Nous avons pu egalement, au prix d'une longue marche, nous procurer
trois vis inox avec des specifications bien precises, qui maintiennent
l'enrouleur sur le tambour inferieur. Sans ces vis, l'enrouleur
n'enroule plus. Et nous avons pu trouver ce qui nous fallait, ce qui
veut dire que maintenant que nous pouvons a nouveau utiiser l'enrouleur,
nous n'en aurons sans doute plus besoin.
Cela m'etonnerait quand meme avec le nombre de fronts froid en route
vers nous, certains plutot faibles mais d'autres pouvant generer assez
de vent pour avoir besoin d'enrouler et de prendre des ris.
Pour rentrer, nous allons passer au sud de Mayaguana et de Crooked
Island et entrer dans le banc des Exumas a l'ouest de Long Island par
les Nuevita rocks. Ensuite, nous traverserons vers l'ouest le banc pour
entrer dans "The Tongue of the Ocean" et faire route directe vers les
Berrys.
Arrivee prevue a Port Lucaya le 26 au matin.
mercredi 19 janvier 2011
La voile Yanmar
Le moment tant redoute de demarrer le moteur est arrive. Depuis que nous
avions tourne le coin a Tortola pour faire de l'ouest, nous avions
progresse de facon plutot satisfaisante. Mais les meilleures choses ont
une fin et nous savions qu'au fur et a mesure que nous approchions de la
Republique Dominicaine, le vent allait nous lacher.
Ce matin vers 9 heures, mesure defensive, nous avons envoye le Gennaker
pour tenter de maintenir les 4.2 noeuds, soient 100 milles par jour, que
je me suis fixe comme minimum pour arriver largement a temps a Port
Lucaya. Mais a midi, la vitesse est tombee a moins de 4 noeuds et je me
suis resigne a demarrer le moteur. Nous avons encore 688 milles a faire
pour Port Lucaya et nous ne pouvons evidemment pas tout faire au moteur.
Mais au pire, Sampson Cay est maintenant a moins de 500 milles, notre
rayon d'action au moteur, et nous pourrions donc refaire le plein si
necessaire.
En attendant, la mer est bleue, il n'ya que quelques cumulus dans le
ciel et le soleil brille, Un vrai temps de carte postale, Donc pas
vraiment raison de se plaindre. Il y en a qui sont sous la neige et dans
le froid.
avions tourne le coin a Tortola pour faire de l'ouest, nous avions
progresse de facon plutot satisfaisante. Mais les meilleures choses ont
une fin et nous savions qu'au fur et a mesure que nous approchions de la
Republique Dominicaine, le vent allait nous lacher.
Ce matin vers 9 heures, mesure defensive, nous avons envoye le Gennaker
pour tenter de maintenir les 4.2 noeuds, soient 100 milles par jour, que
je me suis fixe comme minimum pour arriver largement a temps a Port
Lucaya. Mais a midi, la vitesse est tombee a moins de 4 noeuds et je me
suis resigne a demarrer le moteur. Nous avons encore 688 milles a faire
pour Port Lucaya et nous ne pouvons evidemment pas tout faire au moteur.
Mais au pire, Sampson Cay est maintenant a moins de 500 milles, notre
rayon d'action au moteur, et nous pourrions donc refaire le plein si
necessaire.
En attendant, la mer est bleue, il n'ya que quelques cumulus dans le
ciel et le soleil brille, Un vrai temps de carte postale, Donc pas
vraiment raison de se plaindre. Il y en a qui sont sous la neige et dans
le froid.
lundi 17 janvier 2011
Sortie de la mer des Antilles
Depart du poste a fuel du carenage pratiquement a midi le 15. Au depart,
du vent, tout se presente bien. Mais rapidement il faut dechanter, et
toute la premiere journee, sortir de la zone sous le vent de Martinique
s'est fait a 4 ou 5 noeuds, a commencer a nous demander si nous
arriverons a temps aux Bahamas pour l'avion d'Olivier, depart de
Freeport le 28 Janvier a 14 heures. Mais une fois sortie de l'abri de
terre, nous avons pu toucher un peu de vent et apres n'avoir fait que
126 milles sur l'eau (137 sur le fond) les premieres 24 heures, nous en
avons fait 159 (167 sur le fond) le deuxieme jour. Par contre, compte
tenu des previsions meteo, j'aie du changer mon plan de route, et au
lieu de passer entre Porto Rico et la Republique Dominicaine par le
passage Mona, j'aie choisi de contourner Virgin Gorda et sortir dans
l'Atlantique a l'est de Port Rico. Esperons que les previsions se
realiseront et que nous garderons un peu de vent jusqu'a la hauteur de
Puerto Plata. Dans ce cas, meme au pire, j'aurai assez de carburant pour
monter au moteur jusqu'a Highborne Cay, ou il y a un poste a fuel.
Evidemment, avoir du vent implique un peu de mer, et nous avions perdu
l'habitude, qui se reprend vite.
Pour l'instant, si nous maintenons une moyenne de 5 noeuds, ce qui est
le plus lent que Papy Jovial aie jamais fait depuis le depart de
Norfolk, nous arriverions a Lucaya le 25 au soir, donc largement a temps
pour l'avion d'Olivier.
Pour arriver trop tard, il nous faudrait faire moins de 3.7 noeuds de
moyenne, ce que je ne peux pas imaginer.
Affaire a suivre. Et confirmation du fait qu'il ne faut jamais avoir de
date limite quand on navigue a la voile.
du vent, tout se presente bien. Mais rapidement il faut dechanter, et
toute la premiere journee, sortir de la zone sous le vent de Martinique
s'est fait a 4 ou 5 noeuds, a commencer a nous demander si nous
arriverons a temps aux Bahamas pour l'avion d'Olivier, depart de
Freeport le 28 Janvier a 14 heures. Mais une fois sortie de l'abri de
terre, nous avons pu toucher un peu de vent et apres n'avoir fait que
126 milles sur l'eau (137 sur le fond) les premieres 24 heures, nous en
avons fait 159 (167 sur le fond) le deuxieme jour. Par contre, compte
tenu des previsions meteo, j'aie du changer mon plan de route, et au
lieu de passer entre Porto Rico et la Republique Dominicaine par le
passage Mona, j'aie choisi de contourner Virgin Gorda et sortir dans
l'Atlantique a l'est de Port Rico. Esperons que les previsions se
realiseront et que nous garderons un peu de vent jusqu'a la hauteur de
Puerto Plata. Dans ce cas, meme au pire, j'aurai assez de carburant pour
monter au moteur jusqu'a Highborne Cay, ou il y a un poste a fuel.
Evidemment, avoir du vent implique un peu de mer, et nous avions perdu
l'habitude, qui se reprend vite.
Pour l'instant, si nous maintenons une moyenne de 5 noeuds, ce qui est
le plus lent que Papy Jovial aie jamais fait depuis le depart de
Norfolk, nous arriverions a Lucaya le 25 au soir, donc largement a temps
pour l'avion d'Olivier.
Pour arriver trop tard, il nous faudrait faire moins de 3.7 noeuds de
moyenne, ce que je ne peux pas imaginer.
Affaire a suivre. Et confirmation du fait qu'il ne faut jamais avoir de
date limite quand on navigue a la voile.
vendredi 14 janvier 2011
Safari photo
L'episode familial est malheureusement termine, car il aura ete plutot bref. Mais c'est mieux que rien. Patricia et Alice sont donc sans doute de retour au Quebec, et Anne est chez elle a Arles. Quant a moi, je prepare maintenant le bateau pour sa derniere etape au cours de laquelle je vais couper mon sillage de depart, et donc techniquement, completer mon tour du monde.
En attendant, nous avons consacre ce matin au tourisme, et nous avons fait la route cotiere entre les Trois Ilets et le Marin. Route magnifique, tres sinueuse et pentue avec des points de vue a couper le souffle. La photo ci-jointe a ete prise a l'anse Cafard ou se trouve un Memorial pour des esclaes ayant peri dans le naufrage de leur navire negrier.
Ensuite, apres avoir dejeune au Marin, nous sommes alles une fois de plus au super marche pour faire les provisions de cette derniere etape qui sera relativement courte. Nous avons 1200 et quelques milles a parcourir, et je n'aie pas l'intention de m'arreter en route car Olivier prend l'avion le 28 pour l'Europe. Nous devrions mettre environ 8 jours et arriver a Lucaya vers le 23 Janvier.
Le tour du monde etant fini, je pourrais ensuite prendre mon temps pour rentrer a Norfolk car je prefererai ne pas arriver lorsqu'il fait encore trop froid pour moi. J'aie donc prevu d'arriver vers le 1er Mai.
En attendant, nous avons consacre ce matin au tourisme, et nous avons fait la route cotiere entre les Trois Ilets et le Marin. Route magnifique, tres sinueuse et pentue avec des points de vue a couper le souffle. La photo ci-jointe a ete prise a l'anse Cafard ou se trouve un Memorial pour des esclaes ayant peri dans le naufrage de leur navire negrier.
Ensuite, apres avoir dejeune au Marin, nous sommes alles une fois de plus au super marche pour faire les provisions de cette derniere etape qui sera relativement courte. Nous avons 1200 et quelques milles a parcourir, et je n'aie pas l'intention de m'arreter en route car Olivier prend l'avion le 28 pour l'Europe. Nous devrions mettre environ 8 jours et arriver a Lucaya vers le 23 Janvier.
Le tour du monde etant fini, je pourrais ensuite prendre mon temps pour rentrer a Norfolk car je prefererai ne pas arriver lorsqu'il fait encore trop froid pour moi. J'aie donc prevu d'arriver vers le 1er Mai.
lundi 10 janvier 2011
Marie Galante - Les Saintes
Les vacances touchent a leur fin. Apres la Dominique, dont il sera difficile d'oublier la beaute et la gentillesse de ses habitants, nous avons passe un debut de week-end a Marie Galante et la fin du week-end aux Saintes. Marie-Galante est une ile peu peuplee, peu tournee vers le tourisme, et a donc conserve un charme indeniable. C'est une ile agricole, reputee surtout pour son rhum, mais qui vaut la peine d'etre visitee. Nous avions pris un coffre a Saint Louis, deuxieme bourgade de l'ile apres Gros Bourg, tres tranquille malgre l'arrivee reguliere des ferry en provenance de la Guadeloupe. J'aie eu la chance d'y retrouver mon copain Max, que j'avais rencontre pour la premiere fois en Haiti en 1985, et nous avons pu remettre les pendules a l'heure.
Ensuite, les Saintes et un mouillage a Terre de Haut. Ile tres differente de Marie Galante, essentiellement tournee vers le tourisme, et un mouillage expose aux alizes et a une petite houle qui reussit a rentrer dans la baie. Tres surprenant, car a voire une carte on pourrait penser qu'il s'agit d'un mouillage tres abrite.
Demain, nous levons l'ancre pour rentrer en Martinique ou Patricia et Alice doivent reprendre l'avion pour rentrer au Quebec.
Ensuite, les Saintes et un mouillage a Terre de Haut. Ile tres differente de Marie Galante, essentiellement tournee vers le tourisme, et un mouillage expose aux alizes et a une petite houle qui reussit a rentrer dans la baie. Tres surprenant, car a voire une carte on pourrait penser qu'il s'agit d'un mouillage tres abrite.
Demain, nous levons l'ancre pour rentrer en Martinique ou Patricia et Alice doivent reprendre l'avion pour rentrer au Quebec.
mercredi 5 janvier 2011
Dominique, escale humide
Dominique est sans conteste une ile tres arrosee, mais elle vaut vraiment le coup que l'on s'y arrete. Son slogan d'ile de la Nature n'est pas usurpee, et c'est tres rafraichissant de debarquer dans une ile sans hypermarches, sans embouteillage, avec des maisons a taille humaine et des gens qui prennent le temps de vous dire bonjour.
Nous y sommes arrives dans les grains et la pluie, et depuis il n'a pratiquement pas cesse de pleuvoir. Cela ne nous a pas empeche de visiter la capitale, Roseau, charmante petite ville que viennent visiter de gros paquebots de croisiere au rythme de 1 par jour, pendant la saison. Esperons que cette injection massive de touristes a raison d'environ 2,000 par jour ne detruira pas l'innocence de l'endroit.
A Roseau, nous avons pris un coffre devant l'hotel "Anchorage Dive Hotel", avec en prime une excellent connection internet en Wifi. Au programme, visite du jardin botanique, nage dans les bulles de la plage rocheuse de Champagne, visite de la chute de Trafalgar sous une pluie battante, justifiee puisqu'il s'agit d'une "rain forest". En fin de journee diner plaisant dans le seul restaurant apparemment ouvert pour le diner.
Ce matin, nous sommes partis de bonne heure pour monter au moteur a Portsmouth, sous la pluie evidemment.. Le mouillage a la reputation d'etre beaucoup moins rouleur que celui de Roseau, et effectivement, apres les trois nuits tres incomfortables passees a Roseau, nous ne subissons plus qu'un leger roulis.
Demain matin, nous devrions faire une excursion pour remonter "Indian River", en esperant que la meteo se conformera aux previsions qui prevoient pas de pluie avant Mardi prochain.
Nous y sommes arrives dans les grains et la pluie, et depuis il n'a pratiquement pas cesse de pleuvoir. Cela ne nous a pas empeche de visiter la capitale, Roseau, charmante petite ville que viennent visiter de gros paquebots de croisiere au rythme de 1 par jour, pendant la saison. Esperons que cette injection massive de touristes a raison d'environ 2,000 par jour ne detruira pas l'innocence de l'endroit.
A Roseau, nous avons pris un coffre devant l'hotel "Anchorage Dive Hotel", avec en prime une excellent connection internet en Wifi. Au programme, visite du jardin botanique, nage dans les bulles de la plage rocheuse de Champagne, visite de la chute de Trafalgar sous une pluie battante, justifiee puisqu'il s'agit d'une "rain forest". En fin de journee diner plaisant dans le seul restaurant apparemment ouvert pour le diner.
Ce matin, nous sommes partis de bonne heure pour monter au moteur a Portsmouth, sous la pluie evidemment.. Le mouillage a la reputation d'etre beaucoup moins rouleur que celui de Roseau, et effectivement, apres les trois nuits tres incomfortables passees a Roseau, nous ne subissons plus qu'un leger roulis.
Demain matin, nous devrions faire une excursion pour remonter "Indian River", en esperant que la meteo se conformera aux previsions qui prevoient pas de pluie avant Mardi prochain.
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